Barbounya : convivialité turque sur la rue Laurier

La Turquie généreuse de Barbounya

Je savais que je recevrais une invitation pour le repas média du nouveau restaurant de la chef Fisun Ercan (du célèbre Su à Verdun) mais je n’ai pas pu attendre et m’y suis présenté une semaine en avance, avec la blogeuse Stéphanie Grondin et ma soeur, après une ouverture de bar bien arrosée.

Nous sommes chaleureusement acceuillis par Edward Zaki, le sympathique co-propriétaire et restaurateur chevronné (Confusion Tapas du monde et Victoire). Par soucis de transparence, je dois vous dire que je connais Edward, ayant eu le plaisir de partager avec lui quelques verres de scotch et de discuter religion. Mais je pense bien être capable de vous parler de son dernier né avec toute la rigueur que mon rôle de blogeur m’impose.

Salade d’orge, fines herbes, zereshk

Donc, le soir de notre première visite, le restaurant tout neuf est presque vide. Tant mieux pour nous, nous aurons le plaisir d’avoir la sympathique chef venir nous expliquer ses plats. Ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux savent déjà ce que je vais révéler ici : j’ai beaucoup, beaucoup aimé ce que j’ai mangé chez Barbounya.

Salade de salicornes

Du muhammara piments rouges grillés, noix de Grenoble aux ris d’agneau de Kamouraska, en passant par la salade d’orge, fines herbes, zereshk et la terrine de foie gras fumée, figues, noisettes, tout était succulent. Lors du souper média, on nous a servi la majorité du menu et je n’ai pratiquement pas pu y déceler de fausses notes.

Ris d’agneau de Kamouraska

La sommelière Sindie Goineau a su monter une carte des vins agréable et le raki (alcool anisé turc), à boire à l’apéro, saura imposer le ton à la soirée.

Les plat sont servis en portion mezze, soit de la grosseur d’une entrée que l’on partage et cet esprit de convivialité se retrouve dans le beau décor au haut plafond, aux grandes tables communes et la cuisine ouverte.

Filet de saumon, mélange d’épices maison