La vache qui rit jalapno : OLE

On dit que le goût et l’odorat sont deux des sens qui peuvent le plus facilement nous replonger dans nos souvenirs. On a qu’à se mettre un popsicle à l’orange dans la bouche, et nos courses d’enfants au dépanneur pour notre gâterie à 5 sous nous reviennent à l’esprit.

La vache qui rit fait partie de ces souvenirs pour moi. Peu de boîtes à lunch n’en contenaient pas. Deux triangles pour moi. Avec une pomme. Le plaisir de trouver le petit fil rouge et de le tirer. Immanquablement, le papier d’aluminium s’ouvrait parfaitement en triangle et laissait apparaître le fromage d’un beau blanc crème. Je reconnaîtrais ce goût frais et crémeux à tout coup.

En vieillissant, les petits triangles onctueux ont peu à peu laissé leurs places aux fromages du terroir, les pâtes affinées, les croûtes lavées, les laits crus… On appelle ça grandir.

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Jusqu’à ce qu’on m’envoie une boite de la nouvelle Vache qui rit au piment jalapeno. Quel plaisir ! La belle boîte ronde était remplie de promesse.

J’ai retrouvé la même texture onctueuse, le même goût du mélange de fromage suisse et cheddar de mon enfance, mais avec un petit kik que je ne lui connaissais pas. Plaisir retrouvé!

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Comme j’avais de la visite le soir où j’ai ouvert la boîte et que nous avions décidé de manger des hamburgers, j’ai décidé de cacher un morceau de Vache qui rit jalapeno au coeur de chacune des boulettes de steak haché. Vous dire combien on s’est régalé ! C’est comme si la boulette avait produit sa propre sauce !

Les idées ne manquent pas pour déguster La vache qui rit jalapeno : dans des tacos, dans une omelette, sur des craquelins, dans des pâtes chaudes, sur du riz fumant et bien sûr, avec une pomme !

La nouvelle Vache qui rit est offerte partout où on vend La vache qui rit. Faites-vous plaisir!

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Photos : La vache qui rit (parce qu’on a mangé nos hamburgers trop vite!)