Quand il fait soif : Freixenet Elyssia et l’eau d’érable

L’été a fini par se pointer le nez et avec lui, le règne de la grande soif s’est installé. On m’a fait parvenir quelques flacons d’agréables élixirs que je me charge de vous faire découvrir immédiatement.

Mon penchant pour la bulle a été assouvi quand j’ai reçu le nouveau Freixenet Elyssa (19,95 $). Un beau cava sec, bien balancé aux notes florales et minérales. On le boira sans se lasser. Selon le site de la SAQ, il s’acoquinera très bien avec le saumon, les salsas fruitées et certains fruits de mer. À découvrir sans faute pour les amoureux de la bulle! Et je n’y ai pas encore goûté, mais la maison Freixenet vient aussi de mettre en marché un mousseux désalcoolisé, qui porte le joli nom de Legero et qui est en vente à la SAQ (8,95 $)

Un des grands plaisirs de la vie quand j’étais jeune et que je me rendais à la cabane à sucre était de boire l’eau d’érable directement dans le sceau accroché à l’arbre. On devait même quelquefois casser la petite couche de glace flottant à la surface pour atteindre le frais et subtilement aromatisé liquide (et laisser fondre un glaçon de sève était tout aussi plaisant.)

Et bien, la Fédération des producteurs acéricoles du Québec ont inventé une façon de filtrer et de purifier la sève de l’érable par un procédé qu’on appel NAAPSI qui aide à conserver le précieux fluide et à le débarrasser des bactéries qui, avouons-le, pouvait rendre sa dégustation périlleuse.

Le résultat, commercialisé sous les marques de commerce Oviva et Seva ,est tout à fait égayant. C’est vivifiant et complètement savoureux. On ne parle pas bien sûr ici de saveurs éclatantes, mais bien effluves subtils.

On peut , bien sûr, la boire nature, bien fraîche. Elle sera ainsi bien désaltérante. Mais on peut aussi la mettre à profit dans des recettes, comme ce café glacé à l’eau d’érable comme l’a imaginé la blogueuse Caroline Cloutier, ou en pannacotta, concocté par les cuisiniers de la Fédération des acériculteurs. Vous trouverez plein de recettes et de suggestions d’utilisation sur les sites internet des deux compagnies et sur le site de la Fédération.

Mais peu importe comment vous déciderez de la consommer, vous pouvez être certain que vos souvenirs de printemps à la cabane à sucre vous reviendront à la mémoire.